Nirrti – Cyberpsychosis

Musique Moléculaire est ravi de vous convier à une chute libre dans les spirales convulsives de Cyberpsychosis, hallucination sonore signée Nirrti, entité solitaire échappée d’Orlová, Tchéquie.

Un disque comme une crise d’épilepsie interstellaire, une messe noire diffusée en boucle dans un asile désaffecté sur Kepler-452b. Ici, le black metal devient psychose — dissonant, fiévreux, grouillant de voix extra-terrestres lubriques et d’échos venus de dimensions que notre cortex n’a pas été conçu pour accueillir.

C’est atmosphérique, brutal, hypnotique, bourré de détails hallucinogènes, de pulsations cosmiques, de fractures rythmiques, de gloussements d’aliens lubriques, de murmures schizoïdes et de crissements stellaires.

Imaginez une collision impie entre Portal, Skáphe, Oranssi Pazuzu et un cerveau qui fond lentement sous acide dans une station orbitale abandonnée.
Cyberpsychosis est une possession prolongée, une ivresse noire, une extase dystopique.

Et une fois happé… vous n’en reviendrez pas tout à fait. Vous serez autres. Multiples. Dissociés. Profanés. Et délicieusement satisfaits.

-SIR KULIKTAVIKT

Musique Moléculaire invites you — no, plunges you — into the convulsive spirals of Cyberpsychosis, a sonic delusion conjured by Nirrti, a lone and fevered specter birthed in Orlová, Czechia.

This is not an album — it’s a seizure in the fabric of space, a black mass looping endlessly inside an abandoned asylum on Kepler-452b. Here, black metal mutates into psychosis: dissonant, dripping with fever, swollen with libidinous alien croaks and neural feedback from extra-cosmic filth realms your poor mammalian brain was never meant to perceive.

It’s atmospheric, savage, entrancing — riddled with hallucinogenic textures, cosmic arrhythmias, schizoid whispers, crystalline screams, and the slow churn of worlds devouring themselves.

Imagine Portal, Skáphe, and Oranssi Pazuzu melting together inside a dying processor, while a lone consciousness drowns in lysergic syrup aboard an orbital ruin, light-years from sanity.
Cyberpsychosis is a prolonged possession, a blackened stupor, a dystopian rapture.

And once it pulls you under… you won’t come back whole.
You’ll come back splintered. Multiplied. Profaned.
And utterly, deliciously enthralled. 

-SIR KULIKTAVIKT

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