Of The Tower – Phantom’s Lament

Avec Phantom’s Lament, le projet Of The Tower signe sa deuxième parution sur Musique Moléculaire et nous plonge une fois encore dans un monde d’ombres translucides et de songes suspendus.
Hautement minimaliste, profondément introspectif, l’album déploie une mélancolie diffuse, comme une brume délicate flottant au-dessus de ruines oubliées. Entre new age éthéré, ambient contemplatif et dungeon synth murmuré, ces pièces invitent à la rêverie solitaire, au voyage intérieur, à la douce errance des esprits.
Une œuvre rare, à la fois fragile et infiniment enveloppante, qui laisse résonner longtemps son écho fantomatique.

-SIR KULIKTAVIKT

With Phantom’s Lament, the project Of The Tower delivers its second release on Musique Moléculaire, once again guiding us into a realm of translucent shadows and suspended dreams.
Highly minimalist, deeply introspective, the album unfurls a diffuse melancholy, like a delicate mist drifting above forgotten ruins. Between ethereal new age, contemplative ambient, and whispered dungeon synth, these pieces invite solitary reverie, inner voyages, and the gentle wandering of spirits.
A rare work — fragile yet endlessly enveloping — that leaves its phantom echo lingering long after the final note.

-SIR KULIKTAVIKT

Of The Tower – Nariel’s Rest

Venus des sables lointains des Émirats arabes unis, les brumes de Nariel’s Rest nous parviennent comme un souffle ancien, porteur d’un monde oublié. Avec ce court album de dungeon-comfy-fantasy-forest-synth, Of The Tower tisse une rêverie délicate et hantée, où chaque note semble suspendue dans la lumière tamisée d’un crépuscule féerique.

C’est doux, c’est simple, c’est beau à pleurer. Les mélodies minimalistes, presque murmurées, touchent à l’essence même de ce qui console, de ce qui éclaire l’ombre sans l’effacer. Un disque court, mais habité, mystique sans grandiloquence, nostalgique sans mièvrerie — un sanctuaire secret, un bosquet intérieur.

Preuve que chez Musique Moléculaire, nous ne sommes pas que des monstres de bruit et de chaos : nous aimons aussi lever les yeux vers les étoiles, écouter les lucioles, ou marcher seul dans les sous-bois insolites, portés par des murmures opaques.

-SIR KULIKTAVIKT

From the distant sands of the United Arab Emirates, the mists of Nariel’s Rest reach us like an ancient breath, bearing echoes of a forgotten world. With this short dungeon-comfy-fantasy-forest-synth album, Of The Tower weaves a delicate, haunted daydream where each note hangs suspended in the dim glow of a fairy-tale dusk.

It’s gentle, it’s simple, it’s heartbreakingly beautiful. The minimalist melodies, almost whispered, reach the very essence of what soothes — what casts light without banishing the shadow. A brief album, yet deeply inhabited; mystical without grandiosity, nostalgic without sentimentality — a secret sanctuary, an inner grove.

Proof that at Musique Moléculaire, we are not only creatures of noise and chaos: we also love to gaze at the stars, listen to the fireflies, or wander alone through strange underwoods, carried by opaque whispers.

-SIR KULIKTAVIKT

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