Trop heureux de vous présenter un nouvel album de UgUrGkuliktavikt, intitulé Décomposer le monde! Un mélange fantomatique de black ambient, noise et de field recordings déconstruits d’une durée de 36 minutes en 3 parties: une première et un dernière piste d’environ 4 minutes, avec au milieu une piste de 28 minutes, tryptique mystérieux et insaisissable, où se déroule le drame existentiel d’un monde purement dystopique! Présenté dans les notes de l’album comme un hommage, à la manière de l’artiste, au défunt label Cold Meat Industry, mais aussi un hommage à Carlo Gesualdo, un compositeur italien de la Renaissance qui était également un assassin! Un film noir à l’atmosphère marécageuse et toxique, avec des pics de turbulences sonores occasionnelles plus intenses! Une œuvre austère et hermétique qui récompense l’auditeur, riche en oligoéléments! Sans plus tarder, je vous souhaite une merveilleuse écoute!
UgUrGkuliktavikt – Microbiologie de la décomposition
C’est avec grande excitation que je vous présente, en ce lundi matin sur Musique moléculaire label, un nouvel album d’UgUrGkuliktavikt, intitulé Microbiologie de la décomposition, à base de samples, field recordings et claviers très altérés. Un voyage de 25 minutes en 2 grandes parties drone/dark ambient aux émanations bien toxiques, séparées par une sorte d’entracte noise/harsh noise plus hirsute de 1 minute! On explore les recoins sombres de la psyché humaine, l’ambiance est à la fois hantée, tragique et absurde! Une paradoxale tranquillité règne dans l’ensemble, mais sous la poussière et dans l’eau stagnante se décomposent les douloureux souvenirs d’une histoire tordue qui nous arrive par fragments. Je vous souhaite une écoute merveilleusement sombre et immersive!
UgUrGkuliktavikt – Deux berceuses dépersonnalisées pour nuits fermentées
Très fier d’accueillir en ce vendredi un nouveau venu sur Musique moléculaire label, UgUrGkuliktavikt! L’artiste au nom singulier nous vient de Trois-Rivières, la ville du Québec reconnue pour son Festival international de la poésie! L’album qu’il nous a concocté, intitulé Deux berceuses dépersonnalisées pour nuits fermentées, est un sombre voyage en deux parties: La première nous fait visiter un cauchemar de 31 minutes, un assemblage insolite de fields recording, de samples de vieux films occultes et de chants grégoriens tordus, combiné avec du clavier! Un monde incroyablement démentiel, dark ambient et noise, presque harsh noise par bout, ce qui contraste avec d’autres passages plus tranquilles! La deuxième piste s’intitule Rien, complètement différente de la première, on a ici un drone aérien et minimaliste de 46 minutes, l’atmosphère est très calme, mais subtilement inquiétante! Je vous souhaite sans plus tarder un voyage rempli de surprises!