PUPPY VOMIT – THE BREACH

TV hurle — refus de s’éteindre — 3:33 A.M. — boucle bloquée — œil cyclope suinte.

Fœtus de métal rouillé = PUPPY VOMIT.
Exorcisme stéréo. Bande magnétique rongée.
Perforation dans le tissu réel —
Échappée — fluide noir — mémoire avariée —
Dans la brèche :
fantômes BETAMAX striés de neige noire.
tambours tribaux pilotés par os.
larsen mâchant sa queue.
souvenirs grésillants hachés-insectes.

Tu n’écoutes pas / c’est le son qui t’inhale
Tu deviens surface d’enregistrement /
rituel glitché
drones liquides
esprits VHS spasmodiques
chair en boucles inversées

Cela gémit. Cela grouille.
É-LEC-TRIIIIII-CI-TÉÉÉÉ.
mal calibré.

Chaque piste est une fièvre qui fait des nœuds
une messe câblée par des bouches-hp en hémorragie
rituels sous x, sous verre, sous cellophane puant la contagion chaude

Hauntologie passée au hachoir de données.
Jungle criarde d’incisives digitales.
Hurlement dans la fibre optique.
La réalité a craqué.
Le temps fait marche arrière en vomissant du bleu.

THE BREACH bâille, dégorge, absorbe.
Tu tombes dedans sans nom ni forme.
Tu es le parasite.



THE BREACH is what screams when the television won’t turn off at 3:33 A.M.

PUPPY VOMIT — UK-based sound-exorcist, tape-decompositor, child of rusted circuitry — rips a gaping hole in the membrane between Now and Whatever Shouldn’t Be. Through this crack: flickering BETAMAX phantoms, tribal ghosts wired to drum machines, collapsing feedback loops chewing on their own tails, insectoid lullabies made from shredded memories.

You’re not listening. You’re being played — by haunted loops, melting drones, and the jittering spirits of obsolete formats.
Each track a glitching séance, a fever collapsing into itself, a ritual performed by speakers leaking blood.

This is hauntology fed through a meat grinder and spat into a screaming forest of electric teeth.
Reality is compromised. Time runs backward.
THE BREACH is open. 

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